26 June 2013

perou Les îles Ballestas

On est maintenant plus proches de la fin du voyage que du début. On a maintenant une idée bien précise du budget restant pour boucler le tout et malheureusement, il ne nous permet pas d'aller aux îles Galapagos malgré tout le bien qu'on en a entendu. A vrai dire, on préfère se le réserver pour un prochain voyage et le faire bien plutôt que de le survoler sans faire de belles croisières.

Mais heureusement, un peu plus bas, au Pérou, il y a les îles Ballestas, que l'on nomme parfois les Galapagos du pauvre. Bon ok, du très pauvre alors. On ne retrouve pas vraiment la diversité de la faune. Mais franchement, c'est vraiment pas mal.
On s'installe sur la ville côtière de Paracas. C'est paisible, pas bien grand mais ça sent les vacances. Plus on remonte vers le nord et plus ça se réchauffe.

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Vue de notre hôtel

Donc on commence par faire ce qu'il y a à faire : on prend le bateau pour profiter du paysage et voir les nombreux oiseaux qui sont venus s'installer ici en masse. Les terres et l'eau riche en poissons sont propices à la vie de ces petites (ou plus grosses) bêtes.

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On longe la côte et on observe les formations rocheuses de la réserve naturelle

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Une colonie de pélicans

Jusqu'à ce qu'on tombe sur une curiosité dont seul le Pérou a le secret : le Candélabre.
Une gravure énorme sur une montagne, une forme géométrique régulière creusée dans la roche. De la forme d'un cactus ou d'un chandelier. Mais le plus passionnant dans cette histoire, c'est que l'on ne sait absolument pas d'où ça vient, qui l'a fait, quand et pourquoi. Elle est juste là, à trôner fièrement devant nos yeux, presque en nous narguant de son mystère. On sait juste à peu près que la réalisation de cette "sculpture" est antérieure aux fameuses lignes de Nasca (que nous n'aurons malheureusement pas la chance de visiter).

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Encore 1/2 heure de bateau et les voilà, au loin. On les distingue à peine dans le brouillard qui recouvre le large. Mais plus elles approchent et plus elles sont belles. Les îles Ballestas sont prêtes à nous livrer leurs secrets.

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Voilà, nous sommes envahis d'oiseaux en tout genres. Mouettes, pingouins, cormorans et pélicans principalement, mais aussi beaucoup d'autres espèces et pas que des oiseaux. Des dauphins, des lions de mer. Et surtout, ils sont là par milliers dans cette toute petite zone.

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Les pingouins

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On retrouve avec plaisir les lions de mer. On pourrait vraiment les observer pendant des heures.

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La montagne est noire de cormorans

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Des cormorans

Nous sommes heureux de retrouver une nouvelle fois des cormorans. Ces oiseaux sont vraiment spéciaux. On les observer au dessus de l'eau, jusqu'à les voir foncer à pique pour plonger. Une descente de plusieurs dizaines de mètre. Et lorsqu'on les voir apparaitre de nouveau à la surface, quelques secondes plus tard, ils ont souvent fait mouche et ils redécollent avec un poisson dans le bec.

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Après une bonne heure et demi de ballade, on fait demi tour. Au revoir les animaux. On aura quand même réalisé l'exploit de ne pas se faire chier dessus une seule fois malgré les milliers de spécimens qui nous ont volés autour.

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Notre journée ne s'arrête pas ici car après un petit repas de poisson (évidemment), nous prenons le bus pour visiter la réserve naturelle où nous allons nous balader un peu. Mais ça, c'est pour le prochain numéro.

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Papa June 27, 2013, 5:31 a.m.

Très jolies ces îles Ballestas! Un espace préservé pour ces différents animaux. On attend la suite. Bises

mama&tata June 27, 2013, 9:30 a.m.

Pierzactwa tyle,że trudno wyobrazić sobie fermę hodowlaną w takim wymiarze widać zwierzaczkom odpowiada miejsce gdzie istnieją optymalne warunki do egzystencji.Ryb musi tam być rzeczywiście mnóstwo, obecność np.kormoranów o tym świadczy w Polsce są one chronione ale rybacy śródlądowi domagają się ograniczenia populacji ze względu na ilość ryb pożeranych przez te ptaki/konkurencja dla wędkarzy-kormorany zawsze wygrywają/.A przecież inne ptaki również używają sobie frutti di mare w miejscowym wydaniu, tak że obfitość jadełka musi być na wysokim poziomie i karta dań oferowanych szeroka.Rysunki zaprezentowane na fotografiach niedawno były omawiane na onecie, oczywiście hipotezy dotyczące ich powstania są różne, nam się kojarzą,przynajmniej niektóre z planem portu lotniczego a właściwie ułożeniem pasów startowych i postojowych.Może to ślad "Obcych" i ich plany kosmodromów w podróży na Ziemię, można sobie fantazjować do woli w końcu tajemnice są bardzo ekscytujące i wyzwalają instynkty badawcze u człowieka.Szkoda,że czas Waszej wielkiej wyprawy dobiega końca okazuje się,iż tyle jest jeszcze do obejrzenia na świecie ale w końcu trzeba wracać do domu, macie całe życie przed sobą i na pewno zwiedzicie miejsca,na które Wam czasu nie starczyło.Tymczasem jeszcze kawałek trasy pozostał do zaliczenia zatem póki "piłka w grze...."korzystajmy z uroków trwającej ciągle wędrówki Wy w realu my w relacjach,czekamy zatem na kolejny etap pozdrawiamy,ściskamy mocno!P.S.Ptaki i ich guano to esencja kapitalizmu, bo w sumie ktoś coś produkuje za free!

Tata Y June 27, 2013, 7:41 p.m.

Vues splendides et reposantes. Très belle île. Vu le nombre d'oiseaux est ce que l'île était calme ? Vu le nombre de cormorans cela implique une grande réserve de poissons. Attendons la suite de votre voyage. Bisous