Surely together with your thoughts here and that i adore your blog! Ive bookmarked it making sure that I can come back & read more inside the fores...
Bien que nous vous avons dit verbalement, je réitère une fois de plus que nous étions très heureux de vous revoir en bonne forme. Nous vous remercions...
Finis coronat opus- jak mawiali starożytni Rzymianie, nawet najdłuższe schody mają ostatni stopień,każda głębia ma dno a najsmaczniejsze jedzenie swój...
Alors là, je sais qu'on va faire plus d'un jaloux. Beaucoup fantasment sur cette ville et nous compris. Et bien nous n'avons pas été déçus !
Dans un premier temps, nous sommes bien contents de retrouver le soleil et surtout la chaleur. Hop, on remet les shorts et on ressort la crème solaire pour nous installer dans un appartement dans le quartier tranquille de Retiro. Oui mais voilà, on ne l'a pas vu venir et le changement de climat nous a rendu bien malade. Après une journée au lit pour Natalia, on se décide à aller voir un médecin. Résultat, bronchite carabinée. Nous resterons encore deux jours de plus enfermés à attendre que ça passe ...
Et finalement, ça passe ! On sort tout excités pour enfin visiter la ville. D'abord le quartier très commerçant et vivant de Retiro et San Martin.
La place San Martin
Ce qui est bien dans ce quartier, c'est qu'on se croirait presque à Paris (le soleil en plus). On retrouve beaucoup de bâtiments types haussmanniens. Mais ce sont aussi ses grandes avenues claires et dégagées et les petits parcs un peu partout qui nous charment.
Buenos Aires est aussi une grande ville bien représentative de la situation économique et sociale du pays. Si en apparence, tout est beau et le pays semble riche, en fin de compte, les différentes crises politiques, économiques et sociales ont laissés beaucoup de traces. La capitale est le lieu de beaucoup de manifestations et de revendications, notamment des travailleurs et du peuple "d'en bas".
Le pays salue d'ailleurs le départ sous d'autres cieux du leader communiste vénézuélien Hugo Chavez
Le sujet est sur toutes les bouches en ce moment (à la date de notre visite, le Pape François n'a pas encore été élu ;) )
L'autre sujet vraiment chaud en Argentine, c'est la situation des Malouines. Croyez nous, c'est un point qui est loin d'être réglé et l'Argentine en revendique toujours la propriété. Des manifestations permanentes ont lieu tous les jours à Buenos Aires.
Nous continuons notre tour en ville à nous émerveiller de tout ce qu'on peut voir, sous un soleil réchauffant.
A cause de la bronchite, nous n'aurons pas l'opportunité de tester des milongas pour danser un peu de tango
Mais soyons francs, le vrai sujet de conversation de tous les Argentins sans exception, c'est le foot. C'est une religion à Buenos Aires et la première question qu'on te pose dans la ville c'est : "tu supportes Boca ou River ?".
Les boutiques
Nous avons finalement réalisé le rêve de pratiquement tous les fans de football qui se respectent, nous sommes allés voir un match de Copa Libertadores (équivalent de la Ligue des Champions en Europe). Mais pas n'importe où ! Au stade de Boca Junior, surnommé La Bombonera pour son ambiance électrique, le jardin de Maradona. Ils affrontent l'équipe de Nacional Montevideo et les supporters uruguayens ont envahi le centre ville.
La Bombonera de l'extérieur en après midi
Aller voir Boca jouer, ce n'est pas une mince affaire. Il faut d'abord se procurer des places. Ce qui n'est pas évident du tout puisqu'elles sont pratiquement toutes vendues en abonnement aux aficionados (les fans). Ensuite, le souci c'est que le stade de Boca se trouve dans le quartier de La Boca, l'endroit le plus malfamé de la ville. Il peut être dangereux pour des touristes étrangers de se balader dans ce coin. Nous optons pour une solution assez sûre, nous irons sous escorte avec un ami de la personne qui nous loue l'appartement. Il nous emmène, assiste au match avec nous et nous ramène à la maison. Nous avons rendez vous à 20h, 20h15 toujours personne ... Nous ne tenons plus en place. Il arrive enfin ! Nous partons, l'excitation est à son comble !!!
Et nous voici enfin au pied du stade. Ici, pas de problème pour se garer, les supporters gèrent les rues telle une mafia italienne. On nous indique un emplacement sur un passage piéton, le chauffeur glisse un billet et nous ne serons pas embêtés par la police :)
On fait la queue pour passer à la fouille très rapide par les policiers et nous entrons dans le stade. Ici, la présence policière est vraiment très faible. Ça change des grandes rencontres en France et surtout à Paris. Honnêtement, on ne sent pas un climat d'insécurité. On rentre dans le stade en voyant les feux d'artifice jaillir des tribunes, le bruit de la bonbonnière est assourdissant. Nous avons malheureusement raté l'entrée des joueurs sur la pelouse. Mais ce n'est pas bien grave, nous rentrons bientôt dans les coursives et le rythme du cœur de la tribune populares résonne dans les veines du stades.
Nous sommes placés juste à coté du kop de supporteurs les plus actifs, le fameux groupe doce
Jusqu'ici, tout va bien 0 à 0
En face, l'autre tribune populaire et au dessus, le gigantesque kop des visiteurs qui se fait entendre malgré les chants des supporters locaux.
La tribune d'honneur n'en est pas une, c'est un mur de loges où Maradona a une place nominative à vie
On vient en famille et il n'y a pas d'âge pour commencer dans la fosse
Boca encaissera le premier et seul but de la partie en première mi-temps. Nous n'aurons pas le privilège de vivre un but de Boca, c'est bien dommage. Nous n'avons pas de très bonne places mais il faut dire que le spectacle, il est surtout dans les tribunes. Coté terrain, c'est quand même franchement faiblard. Aucune organisation, pas de jeu rapide à une touche de balle, c'était un peu du n'importe quoi. Mais ça, les supporters n'en ont cure apparemment. Non, pas de sifflets, ni sur le but adverse, ni à la mi-temps, ni à la fin du match. Des chants, des chants et encore des chants et surtout beaucoup de bruit. Ca danse, ça saute et ça rechante à la gloire d'un joueur qui fait partie de la légende du club et qui vient de sortir de sa retraite pour ce match : Riquelme. Le mythique Carlos Bianchi, ancien joueur du PSG est lui sur le banc pour entrainer l'équipe.
Montevideo gagne 1 but à 0, les supporters sont aux anges et le font savoir bruyamment
Quelle soirée ! On s'en souviendra pour longtemps assurément.
Le lendemain, nous sommes en pleine forme pour continuer la visite de la ville. Et le soleil est encore de la partie. On se dirige vers le quartier de Palermo, le coin branché de la ville où l'on trouve des studios TV et des boutiques comme à Soho à New York.
Ici aussi ils ont leur place d'It'
Plein de boutiques branchées
On passe l'après midi dans un autre quartier tout aussi branché mais dans un autre style : Puerto Madero, au bord du Fleuve d'argent où les docks ont été transformés en boutiques et restaurants plutôt chics.
Les grues ont été conservées et aménagées en points d'information
A la fin de cette promenade, on tombe directement sur San Telmo. Un vieux quartier surtout célèbre pour les violents combats de rue qui ont opposé les habitants aux envahisseurs britanniques. L'absence d'aide des Espagnols, pourtant ardemment demandée n'a en réalité fait qu'accroître ce sentiment d'indépendance et la confiance de leur capacité à vivre en autonomie. Un vrai tournant dans l'histoire de la ville.
San Telmo devient un quartier riche mais il est fui en raison de la fièvre jaune qui s'y répand en 1871. On y installe les familles pauvres et au fil des ans, renaissant de ses cendres il devient à nouveau un quartier à la mode, suivant un cycle sans fin. Les artistes s'y installent en quête de logements bon marchés. Les lieux se transforment dans une ambiance bourgeois-bohème et c'est aussi maintenant aussi le lieu de sortie de la communauté gay. Un mélange de Montmartre et du Marais.
Mais comme si on devait être rappelé à l'ordre et redescendre sur terre, San Telmo donne directement sur La Boca, le quartier pauvre. Le tiers monde de la ville. C'est vraiment choquant. Comment peut-on à ce point abandonner une partie de sa ville, de ses habitants. Comment une telle insalubrité peut-elle côtoyer de si près le chic, le beau.
Nous ne nous enfonçons pas plus que ça dans La Boca. En plein jour, ce n'est pas forcément chaud mais une voiture d'un habitant s'arrête à notre hauteur et nous conseille de bifurquer tout de suite sur El Caminito, c'est plus sûr. On s'exécute sans se faire prier.
A Boca, on trouve tout de même de superbes fresques qui ne sont sûrement pas l’œuvre de la municipalité
Parce que El Caminito, ça a beau être dans La Boca, c'est un petit ensemble de rues très touristiques. Peut être trop ? En tout cas, on retrouve ici tous les clichés argentins : le tango, Maradona et Boca Junior, les gauchos. Mais on y trouve aussi tous les touristes. Bon, il n'y a rien de vraiment authentique à voir ici et ce n'est pas le lieu de prédilection des locaux. Mais c'est vivant et beau à voir.
Ça commence en couleur
Danseur de tango
Après une bonne semaine dans la capitale, l'aventure aurait du s'arrêter là et nous devions rejoindre l'Uruguay en bateau. Oui mais voilà, en voyage tout ne se passe pas forcément comme on le décide. Et apparemment Buenos Aires n'en avait pas fini avec nous.
On fait nos sacs, on trouve des pièces pour prendre le bus. Ah oui, il faut que je vous fasse une parenthèse la dessus. Ici, le seul moyen de prendre le bus, c'est de payer en pièces au monnayeur. Oui mais voilà, dans ce pays, les pièces sont plus difficiles à trouver qu'un maillot de River Plate à La Boca. Elles se vendent même au marché noir ! Le premier jour, en sortant de l'aéroport, le chauffeur nous a jeté dans la rue parce que nous n'avions pas l'appoint. Et aucun passager du bus n'a pu ou n'a voulu nous changer un billet contre un peu de caillasse.
Bref, notre bus nous dépose à San Telmo devant le terminal de bateau 1h avant le départ, nous nous présentons au comptoir avec un sourire jusqu'aux oreilles. Mais ça ne dure que le temps d'apprendre que le bateau venait juste de partir. "Comment ça il vient de partir ? Il est 10h45 seulement, il doit partir à 11h45 ! - Non monsieur, il est 11H45, regardez ma montre".
Alors voilà, à ce jour, nous n'avons toujours pas compris ce qu'il a bien pu se passer. Nos deux téléphones, l'ordinateur et ma montre qui se règle pourtant automatiquement par ondes radio (merci frérot ;) ) avaient tous une heure de retard. Comment est-ce possible ? Nous avons fait tous les scénarios possibles, allant même jusqu'au malin génie qui nous aurait fait une blague pendant la nuit en déréglant toutes nos montres. Il est vrai qu'il peut y avoir une heure de décalage avec le Chili ... Mais depuis le Chili, nous avons tout de même pris un avion, nous avons eu RDV au resto, nous sommes allés au match de foot, nous avons pris un bus, loué une voiture sans aucun retard. Le mystère reste entier.
Il n'y a plus de bateau pour aujourd'hui, nous devons retrouver un endroit où dormir. On contacte Ximena, notre hôte de la semaine pour savoir si on peut récupérer l'appartement pour une nuit de plus. Malheureusement il n'est pas libre, mais nous recevons rapidement un texto qui nous explique qu'elle va nous trouver quelque chose, au même prix : "Où êtes vous, je viens vous chercher en voiture".
On se pose donc quelques minutes, Natalia un peu épuisée et dégoutée assise sur des marches d'immeuble et moi faisant les cent pas sur le bord de la chaussée pour guetter Ximena. C'est à ce moment là que je sens un liquide fort odorant qui me coule sur les cheveux et le dos. Des oiseaux ? Non, rien à l'horizon. Surement ces clim' dégueu qui coulent. Je vais voir Natalia pour faire un état des lieux car l'odeur est épouvantable. A peine respirable. Un gentil petit vieux vient m'aider avec une bouteille d'eau. Finalement, j'ai mon sac alors je sors un nouveau t-shirt, striptease dans la rue et je me change en le remerciant. Nous sommes alors à l'abri, loin des clim' qui puent. Mais Natalia me crie "c'est pas possible, t'en as à nouveau plein le nouveau t-shirt !!'". Là il y a clairement un truc qui cloche. C'est à ce moment que Ximena arrive. Nous lui expliquons rapidement la situation vaguement gênés. Elle se presse de monter nos sacs dans la voiture et renvoie le petit vieux en le priant de nous laisser tranquilles.
Vous l'aurez maintenant compris, c'est lui qui m'a balancé une moutarde vinaigrée macérée pour prétexter m'aider à nettoyer et nous piquer nos affaires. Heureusement, nous gardons tout proche de nous et rien n'a été volé. Franchement, on l'a pas vu venir ... C'est pourtant une pratique répandue dans la ville. L'odeur dans la voiture est assez violente, nous roulons vitres ouvertes pendant que Ximena s'excuse. Elle n'y est pour rien et elle nous a même bien sorti de l'embarras. On rejoint le nouvel appartement idéalement placé qu'elle nous descend au même prix que l'ancien. En réponse à nos mercis, elle nous rétorque qu'être une hôte, ce n'est pas seulement encaisser l'argent, mais aussi aider faire en sorte que le séjour se passe bien.
Nous avons essayé de nous faire rembourser le billet de bateau en vain. Après quelques aller-retours à l'agence, et par e-mail au service réclamation, nous avons juste le droit de payer une deuxième fois ce coûteux trajet. La bonne nouvelle c'est qu'on reste deux jours de plus à Buenos Aires :D
pas con de pourrir un touriste pour se faire ses sacs en proposant de nettoyer ^^ perso j'adore l'idée. bisous les rats morts
PapaMarch 25, 2013, 3:42 p.m.
Quel beau reportage! La vidéo avec un fond musical de tango nous met dans l'ambiance du pays..et de plus maintenant ils ont leur Pape, c'est la fête!
La chaleur des photo nous fait du bien, à Paris ça caille encore.
Rémi, t'as pas mis ton maillot du PSG pour voir le match? Ca aurait rappeler des souvenirs à Carlos Bianchi et toi tu aurais (peut être) signé des autographes!
Natalia: J'aime ton maillot bleu de "star".
Bises à vous 2
mama&tataMarch 25, 2013, 3:44 p.m.
Baardzo magiczne Buenos zaskakująco piękne i zaskakująco kontrastowe.Przejście z dzielnic bogatych do biednych,szokujące i otrząsające z wcześniejszych wrażeń, cóż Ameryka Południowa to region wielkich kontrastów społecznych i co za tym idzie ruchów rewolucyjnych wydarzających się co jakiś czas w czym nie bez winy jest wiadomy Wielki Brat.Można by gdybać jakby wyglądał ten kontynent gdyby kolonizatorzy z Europy nie dołożyli swoich "trzech groszy" ale mamy za to wiele budowli i stylów architektonicznych bardzo pięknie urządzających dzielnice wielkich miast tak jak Buenos Aires czyli jak zawsze coś za coś.Humor jak widzimy Wam dopisuje co i dobrze,wyglądacie też nieżle czyli otrząsneliście się już z deszczowych treków po Patagonii.Atmosfera na tym stadionie to rzeczywiście show niesamowity myślę,że każdy klub sportowy dałby wszystko za taką publikę i jej reakcję na wydarzenia boiskowe.W Polsce tylko pomarzyć nie dość,że poziom mizerny to jeszcze ci pseudo kibice...szkoda gadać.Zajmująca ta historia Argentyny dziwimy się dziecko jak Ty to robisz ,bo przecież trzeba na taki opis poświęcić sporo czasu a Wy go za wiele nie macie .Ale dziękujemy bo jest to bardzo zajmujące i prowokujące do poszerzenia swojej wiedzy/jak się okazuje człowiek uczy się całe życie/ no i jeszcze te filmiki w tym ten w HD brawo dla Was.Czekamy na dalszą trasę i równie ciekawe materiały,ściskamy mocno do usłyszenia!
marta_nMarch 25, 2013, 8:30 p.m.
Miasto robi naprawdę pozytywne wrażenie,pozdrawiam serdecznie
P.S. miejmy nadzieję,że polscy złodzieje nie czytają Waszych postów:P
PopiMarch 25, 2013, 8:35 p.m.
Whaaaaaaaa
dan, Sue, Emma & LoloMarch 26, 2013, 1:16 a.m.
Top le stade !! encore un rêve :)
Bien sympa les aventures qui se terminent bien !
Bronchite, bateau, vinaig'... beaux souvenirs !
Vivement la France quand même ;)
Biz de nous 4
PHILOUMarch 27, 2013, 3:07 p.m.
Merci encore pour ce magnifique reportage et en plus vous nous en apprenez plus sur la situation du pays que les télévisions de nos pays respectifs.
pas con de pourrir un touriste pour se faire ses sacs en proposant de nettoyer ^^ perso j'adore l'idée. bisous les rats morts
Quel beau reportage! La vidéo avec un fond musical de tango nous met dans l'ambiance du pays..et de plus maintenant ils ont leur Pape, c'est la fête! La chaleur des photo nous fait du bien, à Paris ça caille encore. Rémi, t'as pas mis ton maillot du PSG pour voir le match? Ca aurait rappeler des souvenirs à Carlos Bianchi et toi tu aurais (peut être) signé des autographes! Natalia: J'aime ton maillot bleu de "star". Bises à vous 2
Baardzo magiczne Buenos zaskakująco piękne i zaskakująco kontrastowe.Przejście z dzielnic bogatych do biednych,szokujące i otrząsające z wcześniejszych wrażeń, cóż Ameryka Południowa to region wielkich kontrastów społecznych i co za tym idzie ruchów rewolucyjnych wydarzających się co jakiś czas w czym nie bez winy jest wiadomy Wielki Brat.Można by gdybać jakby wyglądał ten kontynent gdyby kolonizatorzy z Europy nie dołożyli swoich "trzech groszy" ale mamy za to wiele budowli i stylów architektonicznych bardzo pięknie urządzających dzielnice wielkich miast tak jak Buenos Aires czyli jak zawsze coś za coś.Humor jak widzimy Wam dopisuje co i dobrze,wyglądacie też nieżle czyli otrząsneliście się już z deszczowych treków po Patagonii.Atmosfera na tym stadionie to rzeczywiście show niesamowity myślę,że każdy klub sportowy dałby wszystko za taką publikę i jej reakcję na wydarzenia boiskowe.W Polsce tylko pomarzyć nie dość,że poziom mizerny to jeszcze ci pseudo kibice...szkoda gadać.Zajmująca ta historia Argentyny dziwimy się dziecko jak Ty to robisz ,bo przecież trzeba na taki opis poświęcić sporo czasu a Wy go za wiele nie macie .Ale dziękujemy bo jest to bardzo zajmujące i prowokujące do poszerzenia swojej wiedzy/jak się okazuje człowiek uczy się całe życie/ no i jeszcze te filmiki w tym ten w HD brawo dla Was.Czekamy na dalszą trasę i równie ciekawe materiały,ściskamy mocno do usłyszenia!
Miasto robi naprawdę pozytywne wrażenie,pozdrawiam serdecznie P.S. miejmy nadzieję,że polscy złodzieje nie czytają Waszych postów:P
Whaaaaaaaa
Top le stade !! encore un rêve :) Bien sympa les aventures qui se terminent bien ! Bronchite, bateau, vinaig'... beaux souvenirs ! Vivement la France quand même ;) Biz de nous 4
Merci encore pour ce magnifique reportage et en plus vous nous en apprenez plus sur la situation du pays que les télévisions de nos pays respectifs.